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Les compétences non techniques exigent une prise de conscience de nos comportements, de l’impact qu’ils ont et de la capacité à les modifier, ainsi que du temps et de la pratique.
Les compétences non techniques s’acquièrent avec l’aide des autres

Une grande partie de notre comportement est inconsciente. Nous ne mesurons pas toujours l’effet qu’elle produit sur les autres et, même en période de tension et de conflit, il nous est parfois difficile de décoder les mécanismes qui se déroulent au sein de la relation.

Conflit socio-cognitif

Nos expériences, qu’elles soient positives ou négatives, nous façonnent : ce qui est vrai dans un contexte ne l’est pas nécessairement dans un autre. C’est précisément lorsque nous sommes confrontés à d’autres personnes ayant des expériences différentes des nôtres que nous nous rendons compte de la différence de points de vue et d’interprétations. C’est ce qu’on appelle le conflit sociocognitif, car il remet en question ce qui est en nous et ce que nous pensions être immuable.

Le conflit sociocognitif est particulièrement fort lorsqu’il affecte nos croyances, que nous avons inconsciemment tendance à entretenir et à défendre avec force.

Exemples de l’impact du conflit socio-cognitif

Voici un premier exemple. Nous sommes confrontés à une personne en qui nous n’avons instinctivement pas confiance et nous sommes convaincus que notre conversation n’aura pas d’issue positive. Il essaiera sûrement de nous tromper, il est donc préférable d’adopter une attitude protectrice et rigide. Inévitablement, la tension entre nous augmentera et nous ne trouverons aucun accord. Conséquence : cette personne nous contournera pour obtenir ce dont elle a besoin auprès de quelqu’un d’autre, renforçant ainsi notre conviction : « vous ne pouvez pas lui faire confiance ».

Autre exemple : nous avons souvent tendance à vouloir que les autres travaillent de la même manière que nous. Mais cette approche n’est pas toujours efficace ! Au contraire, nous n’avons pas tous le même type de personnalité et il peut donc y avoir des tensions inexpliquées, dont nous ne nous rendons pas compte et qui nous amènent à penser : « ce sont les autres qui ont un problème ».

Pour nous améliorer constamment, nous avons donc besoin d’un retour constructif dans un contexte protégé et sans intérêt, qui nous aide à lâcher prise et à accepter d’autres points de vue et d’autres façons de communiquer. Il sera ainsi plus facile de travailler sur une approche ouverte à de nouvelles alternatives, ainsi que de constater son efficacité.
Les compétences non techniques s’acquièrent par la pratique

Au-delà de la prise de conscience nécessaire, changer ses habitudes prend du temps. Entre 30 et 60 jours ou plus, ou au moins 60 répétitions de la même « action », selon les experts en neurosciences. Il ne suffit pas de « comprendre » le concept ; c’est la maîtrise des compétences générales correspondantes qui fait la différence.

L’exemple le plus flagrant est celui de la gestion du courrier électronique. De nombreuses personnes, lors de certains cours de gestion du temps, apprennent que la meilleure stratégie pour être efficace est d’ouvrir le courrier électronique vers le milieu de la matinée, au lieu de le faire dès que le PC est allumé. Cependant, les habitudes sont tenaces ! Même si nous avons appris cette notion, nous aurons toujours l’instinct de lire les e-mails à 9 heures le lendemain matin.

Rester cohérent dans l’application des nouvelles meilleures pratiques demande beaucoup de discipline personnelle et l’aide de quelques rappels. Le soutien de vos supérieurs et de vos collègues vous facilitera également la tâche. Conseils d’experts en voyance !

Dans de nombreux cas, au-delà d’une difficulté objective, une grande partie de la résistance provient de nos propres peurs et appréhensions. Prenons un autre exemple, toujours dans le domaine de l’efficacité professionnelle. Si l’un de nos collègues nous demande une réunion d’alignement rapide, il peut être judicieux de prévoir la réunion l’après-midi et de consacrer la matinée (où nous sommes généralement plus efficaces) à des tâches plus difficiles. D’accord, cependant, nous pouvons être enclins à penser, « Que va-t-elle penser de moi maintenant ? » Elle va certainement dire que je suis égoïste. »

La peur de ne pas être apprécié par nos collègues peut être à l’origine d’un malentendu sur nos priorités. Il est donc préférable de commencer à changer nos habitudes avec des collègues avec lesquels nous avons déjà une relation positive et établie, afin d’avoir la certitude que ces choix de notre part n’auront pas d’impact négatif sur les relations dans l’entreprise. Et dans le doute, pourquoi ne pas demander un retour d’information ?